L'auteur s'interroge sur le rôle des démocrates-chrétiens (notamment R. Schuman, A. De Gasperi, K. Adenauer) dans la construction européenne et s'intéresse à l'Europe vue de Rome. Il répond à la thèse d'une Europe noire dirigée depuis le Vatican et montre que, de Pie 12 à Jean-Paul 2, la papauté défend une idée cohérente de l'Europe fondée sur la liberté religieuse.